A propos d’imprudences, il faut que tout le monde s’observe bien dans la correspondance. Vous ne vous figurez pas le tort que vous nous avez fait par une de vos lettres, qui a été publiée à mon insu par le père Charbonnier, en disant que les vivres ne coûtent à peu près rien pour les pères et les enfants de l’Afrique équatoriale, une fois arrivés à leur poste.