Je vous demande pardon, mon très révérend Père, si je ne vous écris pas de ma propre main. J’en suis empê- ché par une ophtalmie. Mais si les yeux du corps sont malades, ceux du cœur ne le seront point pour suivre de loin, avec gratitude, le progrès de vos saintes œuvres, que je prie instamment notre Seigneur de vouloir bénir avec plus d’abondance encore.