Je n’exagère rien, et je ne puis que répéter, d’ailleurs, avec Livingstone, qu’on ne peut exagérer, lorsqu’il s’agit de l’esclavage africain ; je répète ce que voient, ce que m’écrivent mes fils, ce qu’ont déjà raconté, en partie, les explorateurs les plus dignes de foi, anglais et américains, protestants et catholiques. Jamais, et c’est ainsi que je résume ma pensée, jamais le monde n’a été, nulle part, le témoin d’autant d’excès sacrilèges.