Je vous recommande en particulier le respect, la déférence, l’obéissance en toutes choses vis-à-vis de vos supé- rieurs, vous rappelant que l’on ne peut pas bien commander lorsqu’on ne sait pas obéir ; et aussi la charité envers vos confrères, vous souvenant que c’est en servant les autres que l’on devient digne de les diriger.