La population de Kampala est donc naturellement multiconfessionnelle et est destinée à le rester à l’avenir. Les interactions et la vie interreligieuses et œcuméniques font partie intégrante de la vie des gens, que ce soit dans les quartiers résidentiels ou non. On peut dire qu’à Kampala, ce qui unit les gens de différentes confessions est plus fort que ce qui les divise et les oppose les uns aux autres.