Vos cœurs éclairés par la foi, ont tressailli, je le sais, d’une joie sainte, et vos yeux cependant ont versé des larmes. Ce n’est pas moi qui accuserai ces larmes de faiblesse. Marie a pleuré Jésus sur le Calvaire, et Jésus a pleuré Lazare, parce qu’il l’aimait. Comment pourrais-je défendre à un père, à une mère, de pleurer leur fils ?