Veux-tu du chocolat ?

Il y a 15 ans quand j’ai posé cette question : Veux-tu un morceau de chocolat ? Et la réponse de mon confrère était négative. Mais pourquoi ? – j’ai demandé. Tout en souriant et avec une conviction sérieuse et profonde il m’a répondu : parce que le prix du cacao sur le marché mondial est trop bas. Quand ils vont donner un prix juste et quand les paysans auront le revenu compensant leur travail, je mangerai du chocolat.

Transformer les conflits en paix

Les conflits font partie intégrante de la vie en société. La vie sociale est marquée par différents types de conflits. Ils peuvent être verbaux, mais aussi non verbaux. Il peut s’agir d’attitudes et de comportements armés ou agressifs qui témoignent de la difficulté de vivre ensemble en harmonie. J’ai non seulement vécu des conflits, mais j’ai également été impliqué dans plusieurs situations de conflits. J’ai vécu et travaillé dans des zones de conflit, des contextes de rébellion et des zones de guerre. Certaines de ces situations échappaient à notre contrôle. Ce qui compte cependant, ce n’est pas l’existence de conflits, mais la manière dont nous les gérons.

Réfugiés et migrants : accueil, autonomisation, engagement pour la justice et le développement durable

Ce qui est surprenant, c’est que l’on se demande encore rarement : « pourquoi » cette tragédie continue-t-elle à se produire aujourd’hui, même avec une plus grande acuité, sans chercher à guérir les causes profondes de cette catastrophe humanitaire ? Pourquoi se contenter de « patchs », de soins hospitaliers, de banques alimentaires et d’aides matérielles, tout en laissant les corps continuer à descendre le fleuve, et les gens traverser les mers à grands risques, tomber sur les champs de bataille ou mourir opprimés et marginalisés ?