Augustin de Clebsattel, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Patrick Bataille, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Augustin de Clebsattel

le mardi 23 juillet 2019  à l’hôpital Saint Camille de Bry-sur-Marne (France)
à l’âge de 97 ans dont 66 ans de vie missionnaire
en Guinée, Tunisie, Italie et France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

 

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Vincent Doutreuwe, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Patrick Bataille, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Vincent Doutreuwe

le mardi 23 juillet 2019 à Pau-Billère (France)
à l’âge de 92 ans dont 65 ans de vie missionnaire
au Malin et en France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Les fauteuils roulants du Fr. Trévor Robinson

Un frère Missionnaire fabrique
des fauteuils roulants à 3 roues
pour les handicapés au Ghana

Voici un court article publié par ZENIT le 15 juillet, présentant le travail de notre confrère Trevor Robinson au Ghana.

Un peu d’espoir pour ‘les derniers parmi les derniers’

A Tamale, une ville ghanéenne de plus de trois cent mille habitants, on voit dans les rues beaucoup de garçons et d’ adultes handicapés. A cause de leur handicap, ces personnes ne peuvent rester que près de leur domicile. Le reste du monde n’existe pas pour eux et, surtout, ils vivent dans des conditions dégradantes. En observant ces “derniers parmi les derniers”, marginalisés, vulnérables et sans aucune aide, le Frère Trévor Robinson, missionnaire anglais des Pères Blancs (la Société des Missionnaires d’Afrique), a eu le désir évangélique de consacrer temps et énergie à améliorer leurs conditions de vie.

C’est pour cette raison qu’il a décidé de fabriquer lui-même de simples fauteuils roulants à trois roues pour les personnes handicapées, rapporte l’Agence de Nouvelles Fides. En explorant les possibilités de remédier à cette situation, le Frère Trévor a conçu un fauteuil roulant à 3 roues qui permette à la personne de s’asseoir dans un fauteuil roulant et de pédaler avec ses mains, lui permettant ainsi de se déplacer plus facilement. Du projet au premier prototype, la démarche a été courte et, grâce à l’aide de bénévoles et de donateurs, le Frère Robinson a très vite commencé ue travail de récupération de matériaux utiles, tels que des morceaux de vieilles bicyclettes donnés par des amis ou des connaissances.

“Quand j’ai commencé, j’ai pensé à faire de la fabrication de ces tricycles une opportunité pour les enfants des rues. J’ai demandé à certains d’entre eux de m’aider. Au début, nous en produisions une dizaine par semaine. Maintenant, lentement, nous avons atteint la cinquantaine”, dit le missionnaire. Le prix total d’un tricycle pour personnes handicapées est d’environ 250 euros. “Ils ont été donnés à des hommes, des femmes et des enfants plus âgés qui sont trop pauvres pour s’en acheter. Certaines personnes nous offrent un peu d’argent si elles en ont – mais la plupart du temps, ceux qui les reçoivent sont trop pauvres pour payer quoi que ce soit. Ces fauteuils roulants à 3 roues permettent aux gens de retrouver leur dignité.

“Lorsqu’une personne handicapée parvient à obtenir l’un de ces moyens de locomotion, elle redécouvre une toute nouvelle dimension et retrouve une espérance de Vie. Grâce au tricycle, elle peut se déplacer n’importe où. Cela lui permet d’entrer en relation avec de nombreuses personnes et de grandir. Non seulement cela, mais ses muscles deviennent plus forts et cela améliore son état de santé physique. Et dans leur vie, il y a maintenant une lueur de gratitude et de lumière.”

Retour vers le futur

Ce matin, la liturgie nous proposait, dans le livre de l’Exode, l’histoire de Moïse, ce prince égyptien par adoption, devenu un hors-la-loi en exil dans le désert non loin de la montagne de l’Horeb – le mont Sinaï – la montagne de Dieu (Ex. 3, 1-6.9-12). Cela me ramena 25 ans en arrière…

J’étais à Mbézi (Tanzanie) avec le frère John Abobo. Nous dirigions un centre pour les enfants de la rue. Le vendredi soir, à la tombée de la nuit, les garçons regardaient une vidéo projetée sur un drap de lit tendu entre deux arbres, à l’extérieur de mon bureau. Ils préféraient les films d’action, qu’ils commentaient à souhait, car ils ne comprenaient pas les dialogues. Mais ce soir là, à cours du film qui ferait l’unanimité, je leur passais un dessin animé, une cassette sans doute illégale achetée dans les rues de Dar es Salaam. Je craignais leur ennui, voire leurs récriminations… Et, de fait, il y avait encore beaucoup plus de bruit que d’habitude. J’avais du mal à me concentrer sur mon travail au bureau. Puis, à un certain moment, silence total, juste le son du film que je n’avais pas encore perçu depuis le début. Intrigué, je suis sorti voir ce qu’il se passait… Ils étaient tous scotchés à l’écran, comme hypnotisés par ce qu’ils voyaient et entendaient.

Le « Roi Lion », c’est l’histoire de Simba, de sa naissance jusqu’à son accession à sa vocation ultime de « Roi de la Jungle », dans ce que le rôle a de plus noble – un roi protecteur, pourvoyeur, servant, un roi respecté et aimé de ses sujets…

Initié par son père, le Roi Mufasa, le jeune Simba profite de ses années d’insouciance. Mais un jour, il entraîne son amie d’enfance, la jeune lionne Nala, à explorer un endroit tabou, et pour cause, c’est un cimetière d’éléphants, hanté par la mort. Son père l’avait pourtant mis en garde. Son oncle Scar, frère indigne du Roi Mufasa, profite de l’espièglerie innocente de son jeune neveu et imagine un plan diabolique pour se débarrasser à la fois du Roi et de son héritier pour s’emparer du pouvoir royal. Il met Simba en danger de mort, forçant Mufasa à prendre de grands risques pour sauver son fils. Avec un coup de pouce de Scar, Mufasa y périra. Scar trompera Simba en le déclarant coupable de la mort de son père et lui conseillera de partir… loin… et de ne plus jamais revenir. Simba s’encourt… loin dans le désert où il sera recueilli, moribond, par Pumba, un phacochère dont personne ne veut plus s’approcher et par Timon le suricate, une espèce de petite mangouste qui évolue dans le désert de Namibie. Tous deux vivent sans souci dans le désert, chantant et dansant, se nourrissant de toutes sortes d’insectes et de plantes. Ils initieront Simba au même style de vie, lui apprenant la chanson qui traduit si bien leur philosophie : « Hakuna matata », il suffit de se laisser vivre, de profiter de la vie…

Entre-temps, Scar a pris le pouvoir sur le peuple de la Jungle, mais au lieu d’être un roi protecteur et pourvoyeur, il a abusé de l’environnement et du peuple jusqu’à épuiser totalement les ressources communes, forçant tous les habitants de la jungle à un véritable esclavage, juste pour survivre. Nala, l’amie d’enfance de Simba, se décide à partir à sa recherche. Mais quand elle le retrouve, celui-ci ne fait que se plaindre de sa propre culpabilité. Un personnage important apparaît alors : Rafiki, le singe qui symbolise le grand-prêtre dans l’histoire du Roi Lion – c’est lui qui avait présenté le nouveau-né Simba au peuple de la Jungle et qui l’avait oint comme héritier du Roi… Voilà que Rafiki retrouve Simba perdu dans l’oisiveté d’une vie triste et inutile ; et il le met à l’épreuve. Et lorsque celui-ci se plaint d’avoir provoqué la mort de son père, Rafiki lui dévoile que son Père est bien vivant. Perplexe, Simba suit Rafiki à travers ronces et buissons jusqu’à une pièce d’eau. « Chuttt, silence… Tu veux voir ton père? Regarde dans l’eau ! » L’excitation de Simba vire très vite à la déception lorsqu’il n’y voit que le reflet de sa propre face, mais Rafiki insiste : « Regarde… plus profondément… Il vit en toi ! Il vit en moi ! Partout où tu vas, toujours il est là ! Dans ta vérité, dans tes pensées, écoute sa voix ! Il vit en toi ! » Dans cet Oasis au coeur du désert, en ce lieu sacré de la Rencontre, Simba découvre l’appel de son Père à se mettre au service du clan comme Roi protecteur et pourvoyeur. Il défiera et vaincra le traître Scar et rétablira un royaume d’équilibre, de prospérité, de justice et de paix.

C’est sur la montagne de l’Horeb que Moïse rencontra le Seigneur dans le buisson ardent, ce lieu sacré d’où il puisa les forces nécessaires pour retourner en Egypte et délivrer son peuple de l’esclavage. Les jeunes de la rue ne sont pas que de pauvres enfants abandonnés. Beaucoup ont été éduqués et façonnés par des Pumba et des Timon. Mais certains ce soir-là se sont remis en route sur le chemin de la Vie. Je le sais, j’ai croisé leur route des années plus tard.

J’invite chacun d’entre nous à se demander : Quelle est ma Mission aujourd’hui ? Vers où dois-je me remettre en route ? Quels que soient mes défauts, mes péchés, mes limites, Moïse m’a précédé, Simba m’a précédé… Et chaque fois que je m’arrête en silence dans un lieu sacré, c’est le Père qui m’appelle à reprendre le chemin de la Vie.

Vingt-cinq ans après la sortie du dessin animé le Roi Lion, voilà que le film, remasterisé, plus réel que jamais, ressort ces jours-ci sur le grand écran, partout dans le monde. Je ne peux que vous inviter à y faire un pèlerinage… ou une petite retraite.

Philippe Docq, M.Afr.

Heureux, vous les pauvres

HEUREUX, VOUS LES PAUVRES !

Thème de l’année 2019 à Lourdes
Jubilé de 150 ans d’existence des M.Afr.

Georges Paquet, M.Afr.

« Heureux, vous les pauvres ! » Je préfère une autre traduction : « Quelle chance pour vous les pauvres… » Mais quels pauvres ? j’ai rencontré beaucoup de « pauvres » en Tanzanie et depuis 20 ans en France chez les migrants – j’ai vu que certains peuvent être durs, agressifs, violents, même envers les autres pauvres ! Mais qui sont donc « les pauvres qui seuls possèdent le Royaume des cieux » (Madeleine Delbrel). Certainement pas ceux qui se disent être « dans une vallée de larmes et en exil sur la terre », comme on le chante encore en latin… Oui, quelle chance pour toi Bernadette Soubirou quand tu dis de tes parents : « pourvu qu’ils ne s’enlisent pas. » Tu préfères voir tes parents lutter pour s’en sortir plutôt que de les voir aux mains des bourgeois de la ville – qui ont essayé de te piéger avec de beaux habits. Tu as compris que l’essentiel était ce que tu vivais avec les tiens dans l’amour, la prière en famille et plus tard dans une communauté religieuse. « Je te loue, Père, d’avoir caché cela aux sages et aux intelligents, et de l’avoir révélé aux tout-petits. » (Lc 10,21)

Et cette voix qui te disait « vous » te permettait de rester toi-même face au déferlement du monde des faux grands comme Zola et d’autres…Tu n’as rien à donner sinon un message, entendu au plus profond de ton cœur : « Je ne suis pas là pour vous le faire croire , mais pour vous le dire. » C’est ce que je témoignais en Afrique : « Toute personne a le droit d’entendre le message de Jésus et après d’en faire ce qu’il veut. » (Kila mtu ana haki ya kusikia maneno ya Yesu, na baadaye ya kufanya kama anavyotaka.)

Moi qui ne suis pas né dans la pauvreté, comment suis-je interpellé, lorsque je dis : « quelle chance pour vous les pauvres » ? Je veux être avec vous pour lutter contre la misère, le dénuement et je le pourrai si je suis capable de le faire avec autant de force d’amour que Bernadette… 140 ans après sa mort, voyez  ce que la technique et beaucoup d’amour, peut réaliser : regardez cet extrait du spectacle de cet été à Lourdes avec Eyma… qui a 16 ans.

Le Royaume, c’est vivre l’instant présent, être créateur avec le Créateur. On n’est pas heureux dans le monde de l‘égoïsme, de la haine.  « L’autre monde » il est là où il y a de l’amour.

A chacun de se mettre à l’écoute de la Voix, qui est là tout près de toi.

 Un peu d’histoire : 

    • 1830 : la médaille miraculeuse « O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. » 
    • 7.01.1844 : naissance de Bernadette Soubirou
    • 1854 : le dogme de l’immaculée conception

« Sans doute l’expression Immaculée conception a-t-elle frappé ses oreilles, à l’église, lors de la fête du 8 décembre. Mais dans ces sermons prononcés en Français (une langue étrangère)… c’est une notion inconnue pour elle… » (p. 123). « Bernadette avait un chapelet de 2 sous acheté en 1856 à Bétharram, elle savait le dire en Français ; elle savait aussi cette invocation qu’on disait à la prière du soir : «  O Marie conçue sans péché… » (p.48).

    • Les apparitions du 11.02 au 16.07.1858 –  « j’ai vu quelque chose de blanc, Aquéro ( cela ou celle-là, suivant l’accent) a la forme d’une petite demoiselle ( damiséle) » (p.78).
    • « Le 3 juin 1859, elle fait sa première communion. En juillet, un jeune avocat, Charles Madon, parle avec Bernadette : « et vos secrets, de quoi s’agit-il ? – Ils ne regardent que moi – et si le pape vous demandait, les lui diriez vous ? – Non… » (p.140) Et si son secret était la manière dont Aquéro concevait le sens de « immaculada councepciou » ?
    • « Grosse difficulté pour sa canonisation ! Pendant l’été 1861, se trouvant au premier étage de l’hospice des sœurs, elle commande à une petite fille, une certaine Julie : « je jette mon sabot par la fenêtre. Tu vas le chercher et tu ramènes des fraises. » (du jardin en dessous)  (p.159) « Je ne sais pas méditer … mais elle s’y mit à la longue. » (p.161) 
    • 4.04.1864 : Bernadette dit qu’elle veut être religieuse 
    • 7.07.1866 : elle est à Nevers
    • 16.04.1879 : Bernadette meurt

Les citations dans « Vie de Bernadette » par René Laurentin, Desclée de Brouwer (1978)

    • Ce même siècle c’est à Bayonne, le 30.10.1825, que nait  Charles Lavigerie. Il est archevêque d’Alger en 1867 et cardinal en 1882.
    • Le 1.07.1888, à Paris, il lance sa campagne anti-esclavagiste. La rédaction du « Temps » écriait : « Le cardinal a détruit presque en totalité les notions trop sommaires que nous avions sur l’état de la traite des nègres. »
    • Le 19.10.1868, il ouvre le premier noviciat et le 8 décembre, il nomme « l’Immaculée Conception » patronne de sa nouvelle Société des Missionnaires d’Afrique, dits Pères Blancs. En 1869,  ce sont les sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique (mafrome.org : Mais qui est saint ?)
    • En 1878, c’est la première caravane pour l’Afrique de l’Est, ce qui sera la Tanzanie. J’y serais en 1971, cent ans après l’explorateur Stanley (pas St Stanley, un autre américain martyr).
    • A Chavanay, en 1878, ma famille avait érigé une statue de Marie, avec sur le socle : « Sainte Marie de l’étoile, je suis l’oror brillante, la clarté du midi, le dernier rayon du soir. Ave Maria 1878. »
Notre Dame de la Grande gorge – en dessus du Rhône, face au soleil levant.

Voir  le poème « Marie » dans  http://peresblancs.org/georges_paquet_poeme.htm 

Georges Paquet, M.Afr.
Tanzanie 1971 – 1998.

Consultation, Petit Echo et autres lettres de nouvelles

Consultation
Petit Echo
et autres
nouvelles

Vous devriez maintenant avoir reçu une nouvelle lettre de consultation du Conseil général, sur la vocation des Frères cette fois. Le sujet sera débattu lors du prochain Conseil plénier. Votre réflexion est donc sollicitée et votre opinion compte.

Le moment est particulièrement bien choisi, car l’édition de juillet du Petit Echo porte précisément sur les Frères dans la Société. Et il devrait être bientôt en route par courrier escargot (je veux dire par la poste) et il est déjà en ligne sur ce site. Je crois qu’il serait très sage de le parcourir avant de réfléchir sur le rôle des Frères dans notre Société.

Vous trouverez également la Newsletter “Mini-Lien” du secteur français, ainsi que celle du secteur belge “Nuntiuncula”, toutes deux sur la page de téléchargement des newsletters de la PEP.

Et sur la page de téléchargement de EAP, vous trouverez la dernière lettre d’information de la province de l’Afrique de l’Est.

Pierre Humblet, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Luc Putzeys, Délégué Provincial du secteur de Belgique,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Pierre Humblet

le mercredi 10 juillet 2019 à Ohain (Belgique)
à l’âge de 87 ans dont 62 ans de vie missionnaire
au Liban, en Tunisie, en Italie, en Syrie, en Israël/Palestine et en Belgique.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Johannes (Hans) Gülle, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Rudi Pint, Délégué Provincial du secteur d’Allemagne,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Johannes (Hans) Gülle

le lundi 8 juillet 2019 à Trêves (Allemagne)
à l’âge de 85 ans dont 58 ans de vie missionnaire
en Tanzanie et en Allemagne.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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José Tomás Gómez

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Patrick Bataille, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

José Tomás Gómez

au début juillet 2019 à Sagunto (Espagne)
à l’âge de 70 ans dont 37 ans de vie missionnaire
au Malawi, en Italie, en Espagne et en France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Pierre Gouin, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Réal Doucet, Provincial des Amériques,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Pierre Gouin

le samedi 6 juillet 2019 à Ste-Dorothée (Canada)
à l’âge de 86 ans dont 63 ans de vie missionnaire
en Zambie et au Canada.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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