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Un siècle d’histoire de l’Eglise d’Afrique devant vous !

Un siècle d'histoire de l'Eglise d'Afrique devant vous !

Mini-Lien du Secteur France – 1er Novembre 2020 – Editorial

 « Évidemment, évidemment, on rit encore pour des bêtises comme des enfants… mais pas comme avant, pas comme avant », chantait France Gall sur des paroles de Michel Berger, après le départ d’un être qui lui était très cher. Ah le vide ressenti après un décès! Et il faut reconnaître que lorsqu’en ce 2 novembre nous visiterons les caveaux de nos confrères décédés, nous prendrons encore un peu plus conscience à quel point ils nous manquent.

Les noms sont gravés dans le granit, mais moins profondément que dans nos cœurs ou tout au moins dans nos mémoires. Plus rien en effet ne sera « comme avant ». Et cette triste année 2020 va marquer indélébilement nos mémoires : seulement en France – et l’année n’est pas terminée – 20 confrères nous ont quittés et c’est énorme.

Qui plus est, trop d’entre eux sont partis sans aucun confrère pour les accompagner, portés à la morgue par des fantômes en tenue de films d’horreur et puis tout aussi directement au cimetière sans passer par la case obligée d’une chapelle ou d’une église. Inhumain ! Non, ils ne se sont pas dévoués tant d’années en Afrique au service de l’Évangile, portés par un renoncement improbable propre aux Pères Blancs pour finir comme cela ! Ils ne méritaient pas ça ! Et pendant que les pompes funèbres faisaient leur travail, nous les « vivants » nous étions seuls dans nos chambres les yeux secs, mais le cœur bouleversé, murmurant sans fin comme pour stimuler notre espérance: « Ô mort, où donc est ta victoire ? »

Heureusement, la foi et la raison ont vite fait de prendre le dessus au point même de nous rendre plus forts ; la fête de la Toussaint est là pour nous le rappeler : « Oui, nous le savons », nos confrères sont vivants, et pour toujours, à l’apogée de leur vie active missionnaire et sacerdotale. Et leur départ, aussi douloureux a-t-il été, n’était que leur ultime épreuve, celle-là même qu’a vécue le Christ avant sa résurrection. Oui, ils sont vivants et nous y croyons profondément.

Comment alors, en ce 2 novembre, ne pas partager la fierté que nous sommes en droit de ressentir en voyant tout ce que Dieu a réalisé à travers eux en Afrique ou ailleurs ? Ce n’est pas pour rien qu’Il a choisi ses ouvriers dans une diversité et une richesse incroyables ; chacun d’eux a travaillé à sa façon à la vigne du Seigneur apportant à l’immense vitrail de la Mission ce petit coup de pinceau personnel qui lui donne toute sa luminosité : tous les champs humains comme spirituels ont été merveilleusement labourés depuis 150 ans. Et c’est bien cette diversité qui a fait de l’Église d’Afrique la perle qu’elle est aujourd’hui.

Mais la fête de Toussaint est aussi celle du pardon ou de l’oubli selon nos conceptions. Le départ de nos confrères en effet a aboli en nos mémoires tout le négatif qui leur était reproché de leur vivant. Et surtout, avec du recul, ce que nous pensions être des défauts n’a-t- il pas été finalement utile, voire nécessaire à la construction de l’Église d’Afrique ? C’est fou ce qu’elle a pu progresser grâce à toutes les imperfections de ses ouvriers !
Ce sont bien ces petites, mais nombreuses croix qui l’ont façonnée, et ce sont de multiples petites croix qui façonnent encore et toujours ce chef-d’œuvre en devenir. Ce sont les ombres qui depuis toujours font ressortir la splendeur de la lumière et des couleurs ! C’est alors que nous revient cet aveu réconfortant de Saint-Paul : « Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort ! » « Tout est grâce ! » écrivait Bernanos.

Au cimetière de Bry comme dans d’autres cimetières, 10 caveaux « Missionnaires d’Afrique » sont alignés avec des dizaines de noms gravés dans la pierre, dans le ‘Livre de vie’. À un jeune couple venu se recueillir sur la tombe de leur oncle, je me suis permis de dire avec fierté : « Vous avez devant vous plus d’un siècle de l’histoire de l’Église d’Afrique. »

Rendons grâce à Dieu pour nos confrères décédés ! Qu’ils reposent en paix !

Père Clément Forestier, M.Afr.

Ecoutez ces belles paroles de Michel Berger, chantées par France Gall, en mémoire de nos confrères décédés depuis le 2 novembre 2019.

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NomNation

Adriaan van de Laak, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Jozef de Bekker, Délégué Provincial du secteur des Pays-Bas,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Adriaan van de Laak

le samedi 31 octobre 2020 à la Maison de Soins de Horn (Pays-Bas)
à l’âge de 99 ans dont 75 ans de vie missionnaire
en RD Congo et aux Pays-Bas.

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Le Père Rosner, “baptisé” Abooki

Le Père Rosner, 'baptisé' Abooki

Par Matthias Mazinga

Dans sa rubrique « Célébrons la Vie » du dimanche 25 octobre 2020, le premier quotidien ougandais “New Vision” a publié, sous la plume de son journaliste Matthias Mazinga, un hommage en l’honneur de notre confrère le Père Gotthard Rosner, décédé le 2 septembre dernier. Merci à Otto Katto pour nous en avoir envoyé la copie.

Rev. P. Gotthard Rosner

‘Abooki’

Du : 5 mai 1941
Au : 2 septembre 2020

Le révérend père Gotthard Rosner Abooki, en Ouganda dans les années 1970, était l’un des confrères de la Société Catholique Missionnaire des Pères Blancs (alias Missionnaires d’Afrique), qui a servi la congrégation et l’Eglise en Afrique avec un amour et un dévouement total.

Après son ordination sacerdotale en 1968, Rosner a été affecté à la paroisse catholique de Mugalike à Hoima, où il a travaillé en tant que vicaire puis curé de 1969 à 1973. Il a ensuite enseigné aux futurs prêtres au grand séminaire national d’Alokulum à Gulu (1977-79). Rosner a ensuite servi la congrégation et l’Église ailleurs en Afrique, en Europe et aux États-Unis.

Le temps que Rosner a passé en Ouganda a été de toute évidence le plus mémorable de sa vie. Il est resté en contact avec les chrétiens de la région de Mugalike et de Gulu, même après avoir été déplacé d’Ouganda. On se souvient généralement de Rosner comme d’un missionnaire pieux, qui prêchait l’évangile avec une admirable dévotion. Il a touché les gens partout où ils se trouvaient et leur a prêché l’évangile du salut. Rosner a permis aux gens de connaître et d’expérimenter la bonté de Dieu au travers de ses paroles et de son exemple.

En raison de sa vie vertueuse et de ses admirables qualités de prêtre, les chrétiens de Mugalike ont donné à Rosner (dont ils prononçaient le nom Gotihati) des noms traditionnels tels que Atalyeeba (celui qui ne pourra jamais être oublié), et Abooki, un nom d’animal de compagnie populaire (empaako) des Banyoro. Les habitants ont également donné à leurs enfants le nom de Gothard en reconnaissance de son ministère sacerdotal.

Josephine Kasaija Bigabwa, une paroissienne de Mugalike (qui est également la vice-présidente en exercice de l’Association des résidents extérieurs du diocèse de Hoima), est l’une des chrétiennes qui se souvient de Rosner avec beaucoup d’admiration. “C’était un prêtre terre-à-terre, qui se mêlait volontiers aux habitants et vivait aussi leur culture. Il a appris et parlé le runyoro encore mieux que certains banyoros. Il pimentait toujours ses homélies avec des proverbes intéressants. Ses homélies fascinantes attiraient les gens à l’Église. Sa générosité est aussi considérable. Il a aidé des centaines d’enfants nécessiteux et de femmes vulnérables. Il a soutenu des maisons de bienfaisance pour enfants. Son engagement en faveur des enfants était si solide que ceux-ci ne voulaient jamais le quitter après la messe. Les enfants voulaient aussi l’accompagner chaque fois qu’il était déplacé vers un autre poste de mission”.

Peter Bernard Kidega, un membre de la paroisse catholique de Layibi (Gulu), admirait également le Gothard, le qualifiant de “merveilleux prêtre dont on garde de doux souvenirs”. C’était un prêtre désintéressé et diplomate. Il servait le Seigneur de tout son cœur. C’était un vrai missionnaire de l’Afrique, qui aimait les Ougandais et tous les Africains”.

Un chrétien, qui a vécu au Lacor dans les années 1970, a également parlé avec gentillesse de Rosner. “Le père Rosner a payé les frais de scolarité de mon fils de la première année primaire à la sixième année secondaire. Lorsque notre maison a été pillée pendant la guerre de 1979, il nous a apporté des tasses, des assiettes et des casseroles de Nairobi et nous a aidés à reconstruire notre vie”.

L’évêque Vincent Kirabo du diocèse de Hoima a qualifié le Gothard de serviteur dévoué de Dieu. “J’ai eu l’occasion de collaborer avec lui lorsqu’il était encore ici. Il avait cette capacité unique de garder l’intérêt et de rester en contact avec les lieux et les personnes qu’il rencontrait”.

Contre toute attente, il a apporté un soutien énorme à la construction du centre de santé Mugalike III, longtemps après avoir quitté la paroisse. Il a écrit des lettres aux chrétiens, demandant à être informé des dernières nouvelles concernant la paroisse, les chrétiens et les projets de l’église.

Le dialogue œcuménique et interreligieux autour de Kampala (EAP Flashes n° 28)

Le dialogue œcuménique et interreligieux autour de Kampala

Kampala est au centre des principaux aspects de la vie de la nation ougandaise : la politique, l’économie, l’éducation, la santé, sans oublier la religion. Sa population est la plus diversifiée sur le plan religieux comparée à toute autre partie de l’Ouganda. Les sièges de l’Église catholique, de l’Église d’Ouganda, de l’Église orthodoxe et de l’Islam sont tous ici. La plupart des églises pentecôtistes ont leurs églises principales ici. Les deux conseils œcuméniques et interreligieux nationaux – le Conseil chrétien mixte d’Ouganda (UJCC) et le Conseil interreligieux d’Ouganda (IRCU) – ont leur siège ici.

La population de Kampala est donc naturellement multiconfessionnelle et est destinée à le rester à l’avenir. Les interactions et la vie interreligieuses et œcuméniques font partie intégrante de la vie des gens, que ce soit dans les quartiers résidentiels ou non. On peut dire qu’à Kampala, ce qui unit les gens de différentes confessions est plus fort que ce qui les divise et les oppose les uns aux autres.

Tous les partis politiques de ce pays ont leur quartier général ici à Kampala et cherchent à se doter d’une identité religieuse tant au niveau de leur présidence que de leurs membres. Dans la même veine, Kampala étant le siège du Royaume du Buganda, l’esprit œcuménique et interreligieux est plus prononcé dans sa population qu’ailleurs. Le Kabaka est le roi pour tous, indépendamment de leurs affiliations religieuses, et la plupart des activités initiées et promues par le Royaume sont inclusives.

Les mariages interconfessionnels sont l’un des défis pastoraux qui, à mon avis, est plus aigu à Kampala que dans toute autre partie du pays. Un certain nombre de couples, mariés à l’église ou non, vivent dans cette situation et il existe un grand besoin d’une catéchèse œcuménique – interreligieuse adaptée et de lignes directrices pastorales sur cette question particulière.

À Kampala, la solidarité œcuménique et interreligieuse se pratique surtout dans l’adversité et la souffrance : la pauvreté dans un nombre croissant de bidonvilles, les crimes et les injustices, sans oublier la mort qui survient plus souvent en ville que dans les villages. L’une de ces adversités s’est produite récemment lorsque l’une des églises protestantes de Kampala a été démolie par des personnes qui prétendaient être propriétaires du terrain sur lequel elle était construite. La solidarité qui s’est manifestée à cette occasion de la part de toutes les personnes, indépendamment de leur foi, a été une voix prophétique forte qui nous a rappelé l’importance et le rôle clé de la religion dans notre société.

Eglise St. Pierre à Ndeeba

Du côté officiel du dialogue œcuménique et interreligieux, les interventions des deux conseils œcuméniques et interreligieux nationaux mentionnés ci-dessus sont plus efficaces à Kampala qu’ailleurs dans le pays. Leurs interventions, souvent sur des questions de justice et de paix, par exemple, concernant la violation des droits de l’homme, la gouvernance et la démocratie, etc. deviennent le sujet de conversation du jour dans la ville.

Enfin, il convient d’observer que si “ce qui unit les personnes de différentes confessions à Kampala est plus fort que ce qui les divise et les oppose les unes aux autres”, il existe également une crainte – fondée ou non – chez certains chefs religieux et fidèles laïcs de différentes communautés religieuses à l’égard les uns des autres. Il est également triste de constater que certaines activités œcuméniques communes, comme par exemple la semaine annuelle de prière pour l’unité des chrétiens, ont récemment connu un certain relâchement. La pandémie COVID-19 pourrait-elle être un rappel de Dieu de la nécessité de renforcer notre coexistence pacifique et notre collaboration œcuménique et interreligieuse ? En fait, les habitants de Kampala ont été plus touchés par la pandémie que ceux des autres régions du pays.

Père Richard Nnyombi, M.Afr.

Bernard Baudon, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Emmanuel Lengaigne, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Bernard Baudon

le mercredi 21 octobre 2020 à Pau-Billère (France)
à l’âge de 85 ans dont 56 ans de vie missionnaire
au Burundi, en Tanzanie et en France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Germán Arconada del Valle, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Jesús Zubiría O. , Délégué Provincial du secteur d’Espagne,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Germán Arconada del Valle

le dimanche 18 octobre 2020 à l’hôpital Ramón y Cajal de Madrid (Espagne)
à l’âge de 83 ans dont 58 ans de vie missionnaire
au Burundi, en Tanzanie et en Espagne.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Cela vous concerne aussi ! (EAP Flashes)

Cela vous concerne aussi !

EAP Flashes n° 28 - Octobre 2020

Le minuscule et invisible coronavirus nous a fait prendre conscience que ce qui se passe dans le monde nous concerne tous. Il a changé nos vies et notre monde au-delà de ce que les superpuissances pourraient jamais faire. Ces dernières années, nous en savons plus sur la Chine grâce aux produits chinois sur le marché et aux entreprises travaillant en Afrique. Néanmoins, je suis de ceux qui avoueront que ce qui se passe en Chine ne me concerne pas. J’ai pourtant appris à mes dépens que ce qui se passe dans le monde me concerne aussi.

Cela fait plusieurs années que notre Société donne la priorité à la Justice, la Paix, l’Intégrité de la Création, la Rencontre et le Dialogue (JPIC-RD) et elle est présentée comme telle dans notre communication officielle. Nous avons nommé des confrères pour nous guider dans ces domaines et en avons formé plusieurs autres pour qu’ils se spécialisent dans le travail pour JPIC-RD. Malheureusement, nous avons trop tendance à laisser JPIC-RD aux experts. Nous apprécions son importance, nous en parlons de temps en temps à nos paroissiens, mais notre comportement montre souvent que ce n’est pas vraiment notre affaire. Le pape François le note : “Le mouvement écologique mondial a déjà fait des progrès considérables et a contribué à la création de nombreuses organisations engagées dans la sensibilisation à ces défis. Malheureusement, de nombreux efforts pour trouver des solutions concrètes à la crise environnementale se sont révélés inefficaces, non seulement en raison d’une opposition puissante, mais aussi d’un manque d’intérêt plus général. Les attitudes obstructionnistes, même de la part des croyants, peuvent aller de la négation du problème à l’indifférence, à la résignation nonchalante ou à la confiance aveugle dans les solutions techniques. Nous avons besoin d’une nouvelle solidarité… Nous tous, en tant qu’instruments de Dieu, nous pouvons coopérer à prendre soin de la création, avec notre culture, nos expériences, nos engagements et nos talents (Laudato Si, n° 14). Ce que le Pape dit de l’écologie est vrai pour les autres crises qui affectent notre monde – l’immigration des peuples, le chômage, la pauvreté, la discrimination raciale, etc. Le dernier chapitre de 2016 nous met au défi de considérer JPIC-RD comme faisant partie intégrante de notre être de Missionnaires d’Afrique. Et le Pape François, à l’occasion de la célébration du jubilé des 150 ans de notre fondation, nous a exhortés en disant : “Que l’Esprit Saint vous fasse construire des ponts entre les peuples. Là où le Seigneur vous a envoyés, contribuez à la promotion d’une culture de la rencontre ; continuez à être les serviteurs d’un dialogue qui, tout en respectant les différences, sait s’enrichir de la différence des autres… Par le style et la simplicité de votre vie, vous montrez aussi la nécessité de prendre soin de notre maison commune, la terre. Enfin, dans la foulée du cardinal Lavigerie, soyez des semeurs d’espoir, en luttant contre toutes les formes actuelles d’esclavage. Cherchez toujours à être proches des petits et des pauvres, de ceux qui attendent, à la périphérie de nos sociétés, d’être reconnus dans leur dignité, d’être accueillis, protégés, élevés, accompagnés, promus et intégrés”. Cet appel est encore plus pertinent en Afrique face au défi de la pandémie du covid-19.

Dans ce volume de Flashes, plusieurs confrères et collaborateurs partagent avec nous ce qu’ils font dans le domaine de JPIC-RD dans notre province. Je profite de cette occasion pour remercier tous ceux qui participent activement au travail de JPIC-RD et pour lancer un appel à tous les confrères en leur disant : c’est aussi votre affaire ! Soyez prudents !

Aloysius Ssekamatte, M.Afr.
Provincial

 

Gérard Bouchard, M.Afr.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Réal Doucet, Provincial des Amériques,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Gérard Bouchard

le vendredi 16 octobre 2020 au CHSLD Argyle de Sherbrooke (Canada)
à l’âge de 89 ans dont 61 ans de vie missionnaire
en Tanzanie et au Canada.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Josef Beck, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Rudi Pint, Délégué Provincial du secteur d’Allemagne,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Josef Beck

le jeudi 15 octobre 2020 à Hechingen (Allemagne)
à l’âge de 90 ans dont 62 ans de vie missionnaire
au Mali et en Allemagne.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Charles Mayaud, R.I.P.

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Emmanuel Lengaigne, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Charles Mayaud

le vendredi 9 octobre 2020 à Pau-Billère (France)
à l’âge de 92 ans dont 68 ans de vie missionnaire
en Italie, Tunisie, Algérie, Libye, au Liban et en France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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