Hans Zoller, R.I.P.

Le Père Gérard Chabanon, Supérieur Provincial d’Europe,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Hans Zoller

le mardi 12 mars 2019 au Foyer St-Joseph à Sierre (Suisse)
à l’âge de 89 ans dont 61 ans de vie missionnaire
en R.D. Congo (Zaïre) et en Suisse.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

Téléchargez ici l’annonce du décès du Père Hans Zoller Continue reading “Hans Zoller, R.I.P.”

Chemin de Croix africain 2019

Voici un Chemin de Croix “africain” – très beau et très priant – proposé par notre confrère Manu Quertemont. Il s’agit d’une présentation PowerPoint enregistrée en format vidéo MP4. Le chemin de croix a été réalisé par l’artiste peintre Charles Ndege pour l’église paroissiale de Nyakato, dans le diocèse de Mwanza, au nord de la Tanzanie. Le chemin de croix est habilement actualisé avec les thèmes contemporains de souffrance et de libération.

Etant donné la législation sur le Copyright et sur la protection des données numériques, il est impossible de mettre cette vidéo sur YouTube, ni même de la proposer à tout le monde sur notre site internet. Et donc, ce poste requiert d’être enregistré.

Vous pouvez la visionner ici à titre purement personnel :

… et la télécharger ici :

https://1drv.ms/v/s!ArWERpqiNo6QmgOnarCCfaoFqVKh (85,6 Mo)

 

Notice biographique de Fernand Gruber (1934-2018)

Voici la notice biographique provisoire de Fernand Gruber, la définitive paraîtra plus tard dans le Petit Echo.

Fernand est né le 10 Juin 1934 à Ingwiller, diocèse de Strasbourg, dans le Bas‑Rhin.

Alsacien, et fier de l’être, Fernand a toujours aimé se retrouver dans sa famille, auprès de ses deux sœurs, de sa maman. Celle-ci est restée veuve, car Georges son mari, a été mobilisé par les Allemands en 1944, et on n’a jamais eu de nouvelles de lui par la suite ; sans doute disparu sur le front de Russie. Malgré bien des recherches, consultant bien des archives, Fernand n’a pas réussi à élucider le sort de son père, ce qui l’a fortement et durablement marqué.

Son école primaire se fit d’abord en allemand de 1940 à 1944 ; puis, de 1945 à 1948, en français. Quant à ses études secondaires, elles se déroulèrent d’abord au petit séminaire des Pères Blancs à Altkirch en Alsace, pour se poursuivre à Bonnelles en Seine-et-Oise.

Ce fut ensuite le cursus normal : philosophie à Kerlois – noviciat à Maison Carrée ; sa théologie, commencée à S’Heerenberg (Pays Bas), fut interrompue par le service militaire en France et en Allemagne ; démobilisé, il se rendit alors à Totteridge pour trois années de théologie. Il fut ordonné prêtre le 29 juin 1963 à Strasbourg.

Commencèrent alors six longues années d’études. Etant donné les aptitudes intellectuelles de Fernand, qu’accompagnaient de bonnes connaissances linguistiques (français, allemand, anglais), les responsables de la Société voulurent préparer Fernand à un service particulier de la mission : on l’orienta vers l’étude des problèmes posés dans nos missions par la présence d’Eglises aux dénominations diverses, protestantes surtout, et d’une manière plus générale, c’était le faire entrer dans le domaine de l’œcuménisme.

Ce furent d’abord des études de théologie catholique à Paris où il obtint en1965 une licence en théologie . Puis une année passée à la faculté de théologie protestante de Paris en vue du doctorat. On le retrouve ensuite à l’Institut Œcuménique du Conseil Œcuménique des Eglises à Céligny en Suisse ; après quoi il passe un semestre auprès d’organismes oecuméniques aux Etats-Unis. Et, pour finir, deux années d’études à l’Institut Supérieur d’Etudes Œcuméniques de Paris . Nous sommes alors en Juin 1969. Les portes de l’Afrique vont s’ouvrir pour Fernand. Ce fut la Zambie qui  l’accueillit.

Dès septembre 1969 Fernand est au centre de langue d’Ilondola où il apprend le Bemba qu’il parle très correctement ; ce qui lui permet d’être à l’aise comme vicaire à Chiboté, dans le diocèse de Mansa. Il a aimé le contact quotidien avec les paroissiens, s’intéressant à leur genre de vie et à leurs préoccupations. Il dut cependant assurer un « intérim » au petit séminaire de Bahati durant deux ans. Après quoi il se retrouva vicaire à la paroisse de Nsakaluba — et professeur de religion au collège pour garçons.

Mais ses compétences en matière doctrinale le firent nommer au Grand Séminaire national de Zambie, à Kabwe, puis à Lusaka. Il y enseigna la théologie dogmatique et pastorale, la liturgie, l’oecuménisme et.. la Bible. Tout en étant doyen des études, et responsable d’une paroisse rurale.

C’est avec regret qu’il quitta la Zambie pour se rendre à Sainte Anne de Jérusalem, le 16 septembre 1981. Son activité principale jusqu’en juillet 1998 concerna la « Revue Proche-Orient Chrétien » dont il était le secrétaire administratif. Responsable de la bibliothèque, il fut aussi « vicaire » de la paroisse allemande de Jérusalem. Cela dura 18 ans.

A partir de septembre 1998, sa vie va se dérouler en Europe. D’abord en France, où il fut secrétaire provincial cinq ans. Puis, en décembre 2003 en Allemagne, à Francfort où il s’adonna au ministère paroissial.

Fatigué, il s’établit alors à Mours, où, pendant cinq ans, il assura le service « accueil », tout en faisant du ministère dans les environs. Il s’y donna totalement ; et le frère Muratet, économe de la maison, nous dit : « Fernand laisse un excellent souvenir au service de la communaué Pères Blancs comme des visiteurs ; il a su faire lever beaucoup d’affection, d’amitié, d’estime ».

Le temps de la retraite sonna en 2012. D’abord à Bry-sur-Marne, de 2012 à 2015. Puis, souhaitant se rapprocher de sa famille et de la zone alsacienne, il fut nommé à la maison de retraite des Missions Africaines, à St. Pierre. Il fut hospitalisé durant l’été 2018 à l’hôpital de Sélestat d’où il nous quitta, le 16 juillet 2018.

Le frère Gabriel Muratet qui fit l’homélie lors des obsèques, souligna le rayonnement de Fernand jusqu’à la fin de sa vie. En est témoin ce groupe d’hommes, lui disant sous le porche de l’église : « nous ne sommes pas tous de bons pratiquants, mais nous venons ce jour à l’église pour recueillir l’héritage moral que nous laisse cet enfant du pays, le missionnaire Fernand Gruber. Il va nous manquer »

Merci, Fernand, d’avoir été un excellent confrère et un bon ouvrier dans les différents champs d’apostolat qui furent les tiens. Dieu t’accueille dans sa demeure, où tu as retrouvé ton père, dont le souvenir est resté vivant en toi toute la vie, et ta maman.

Jean-Marie Vasseur, M.Afr.

Notice biographique de Pierre Du Suau de la Croix

Voici la notice biographique provisoire du Père Pierre Du Suau de la Croix. La notice définitive sera publiée plus tard dans le Petit Echo.

Le 4 mars 1923, Pierre est né dans une famille de médecin à ‘le Houga d’Armagnac’ dans le Gers. Il était le quatrième d’une famille de 7 enfants. Il y vécut une enfance et une adolescence heureuses où, dans un contexte très chrétien, se développa, aidé par le scoutisme, une forte personnalité. Dès cette époque, se précise sa vocation artistique. Sa famille lui fait suivre des cours de peinture à Auch où il résidait alors.

L’appel missionnaire retentit très tôt. Il mûrit au séminaire d’Auch qui l’accompagna jusqu’à la philosophie incluse. Il se rendit alors au noviciat des Pères Blancs à Maison Carrée (1941-1942).

Ce fut ensuite la formation Père Blanc classique, interrompue cependant par la guerre, ce qui l’a amené à participer à 3 débarquements : la Corse en septembre 1943, l’Italie en janvier 1944 et la Provence en septembre de la même année. Suivit la campagne d’Alsace qui le conduisit jusqu’à l’été 1945 date à laquelle il fut démobilisé. Il s’adonne alors durant quatre ans à la théologie en Tunisie. Il Fut ordonné prêtre en 1949 et fut nommé en Haute-Volta Burkina Faso où il se rendit en 1950, affecté au diocèse de Nouna.

Le Sourou fut son premier poste, transféré dès 1952 à Zaba, paroisse qu’il fonda. Il y apprit trois langues. L’apostolat, avec ses différents aspects : culte, catéchèse, …. etc. l’absorba totalement, et il a gardé un bon souvenir de ces treize ans de pastorale rurale, y compris le temps passé à Tansilla. Il revint en congé en 1957 et en 1963, mais le climat très chaud qui l’affaiblissait lui fit comprendre qu’un changement de pays s’imposait. Ce fut le Rwanda qui l’accueillit.

Il y vécut 25 ans, pays qu’il a beaucoup aimé. Le paysage certes, mais surtout la population dont il apprit la difficile langue. Cela lui permit d’être un pasteur actif à Rwaza dans la région des volcans. Il y déploya une activité pastorale débordante. Mais en 1990 on lui demanda de mettre en sourdine l’apostolat paroissial pour s’occuper à temps plein de la décoration  des églises : mosaïques, vitraux et peintures. Avant d’installer son atelier à Kigali d’où il rayonnait sur tout le Rwanda, il travailla chez un maître-verrier à Paris qui l’initia à la technique du vitrail. Il aurait aimé continuer ce travail qui lui plaisait et que bien des visiteurs admiraient, mais les événements de 1994 le forcèrent à accepter l’invitation du régional à profiter des évacuations des ressortissants étrangers par les soldats Français. En avril 1994, on le retrouve donc à Paris.

Il avait alors 72 ans et se sentait en forme. Aussi, après un bon temps de repos, il accepta la proposition que le provincial lui transmit, proposition émanant du P. Louis Blondel en Afrique du Sud : « Faut que tu viennes me rejoindre car j’ai un centre de formation et on veut y créer un atelier d’Art ». C’est ainsi qu’en juin 1995 il atterrit à Johannesburg, et se dirigea vers Orange­Farm à 80 km de là. Il se mit courageusement à l’anglais, et très vite, les commandes affluèrent si bien qu’il était souvent absent de sa communauté ( 2 français, 1 irlandais et 1 canadien) et il dut abandonner le projet d’atelier d’Art. Sa voiture l’emmenait alors pour plusieurs semaines au Transvaal, au Lesotho, au Swaziland, … Une œuvre  qui lui tint particulièrement à cœur fut un chemin de croix avec 15 stations et un chemin de lumière avec également 15 stations. Cela lui prit quatre mois. Hélas ! « monter sur des échafaudages à parfois plusieurs mètres de haut, pour peindre fresques et mosaïques commencèrent à devenir problématique à 80 ans ». En juin 2005, la décision fut prise d’un retour en France. Pierre avait passé 9 ans en Afrique du Sud et ce lui fut pénible de s’en arracher.

En septembre 2005, Pierre est à Billère. Ce sera difficile pour lui de devenir sédentaire après des années de vie indépendante en différents pays. Mais l’atelier qui lui fut réservé lui permit de continuer son travail artistique : mosaïques à l’entrée de la maison, peintures diverses, entre autres, Notre-Dame d’Afrique. Il écrit alors : « l’aide fraternelle de la communauté, la prière et l’eucharistie quotidienne sont une source d’optimisme et de joie ». Et de fait, les témoignages concernant cette époque nous parlent d’un Pierre avec un certain entrain, commentant la télé, toujours amateur de courses automobiles et de football.

Mais, les infirmités, la vieillesse, amenèrent une dépendance que Pierre vécu difficilement, rendant sa vie pénible pour lui et pour son entourage pourtant très prévenant.

Cependant, il garde à travers sa souffrance une sérénité que sous-tend un de ces derniers écrits : « pour moi, la vieillesse n’est pas un naufrage comme disait le Général de Gaulle. C’est plutôt la vue prochaine du port après une traversée pleine d’écueils dont j’ai été protégé par le Seigneur. Aussi, ma prière est un magnificat, celle du P. de Foucault : ‘Seigneur, je m’abandonne à toi. Fais de moi ce qui te plaira. Quoique tu fasses de moi, je te remercie »

Merci Pierre. Tu nous laisses le souvenir d’un confrère dont les œuvres  continuent à faire l’admiration des visiteurs, tant à l’entrée de la maison (mosaïque) qu’à la chapelle (Notre-Dame d’Afrique), souvenir d’un confrère zélé pour l’apostolat, plein d’une ardeur artistique qui lui a permis d’embellir notre vie.

Jean-Marie Vasseur, M.Afr.

Notice biographique de Rolf Rosin

Voici la notice biographique provisoire de Rolf Rosin. La notice biographique définitive sera publiée plus tard dans le petit écho.

Rolf a vu le jour le 6 mai 1940 à Karlsbad, dans la province de Sudetenland, créée comme une province autonome en 1918 par les germanophones. La Monarchie Autriche-Hongroie était en décomposition et pour ne pas être intégrée dans la République Tchèque, fondée le 28 octobre 1918 à Prague, les germanophones ont préféré une autonomie relative. Après la 2ème guerre mondiale, l’autonomie de Sudetenland fût supprimée et la plupart des germanophones se sont réfugiés en Allemagne. La famille de Rolf a choisi Bamberg en Bavière comme nouveau lieu de résidence.

Il a grandi avec deux frères dans une famille très chrétienne et musicale. Il a fréquenté le Deutsche Gymnasium à Bamberg et le 18 juillet il a passé son bac. Son professeur de religion a témoigné qu’il était un des plus attentifs aux thèmes religieux et n’était donc pas étonné que Rolf se soit décidé pour une vie missionnaire.

En septembre 1962, il est rentré au grand séminaire des Pères Blancs à Trêves. De 1964 à 1965 il a fait son noviciat à Hörstel et ensuite, pour la théologie, il est allé à Totteridge. Le 26 juin 1968, il prononça son serment missionnaire et fut ordonné prêtre à Bamberg le 29 juin 1969.

Il fut alors nommé en Zambie, au diocèse de Kasama. Il suivit le cours de langue à Ilondola et, en février 1970, il commença les activités pastorales dans les paroisses Mulobola, puis Chilubi et à Malole pendant plus que trente ans. Dans ses lettres aux parents, amis et bienfaiteurs, il parle surtout de trois réalités de sa vie en Zambie : la situation politique et économique, les paroisses avec quelques dizaines de succursales, les petits communautés chrétiennes et leur glorification en Europe.

Ses éducateurs ont constaté que Rolf se faisait remarquer pour bien faire les tâches demandées sans exagération. Dans son travail pastoral, il a souffert de cette qualité. A l’exception de six mois comme remplaçant de l’économe diocésain à Kasama et comme économe dans le centre de langue à Ilondola, il a travaillé dans les trois très grandes paroisses Ilondola, Chilugi et Lubishi. Toutes les trois constituées d’un centre et de quelques dizaines de succursales ou sous-centres, visités seulement deux à trois fois par an par le prêtre pour célébrer l’Eucharistie. L’Evêque venait irrégulièrement dans les succursales pour donner le sacrement de la confirmation. La pastorale était assurée par les catéchistes.

Après le Concile Vatican II. l’Eglise a développé la « petite communauté chrétienne » comme organisme vital de la pastorale en créant des petits groupes qui se réunissaient chaque semaine pour lire l’Evangile dans le contexte social donné. Rolf connaissait bien la situation en Zambie et lorsqu’il était en vacances en Allemagne et en Autriche, il s’étonnait de l’enthousiasme des chrétiens qui, de loin,  voyaient ces petites communautés chrétiennes comme des solutions miraculeuses aux problèmes pastoraux de l’Afrique comme de l’Europe. Il en reparlait dans toutes ses lettres aux amis.

Lorsque Rolf arrive en Zambie, le pays, devenu indépendant en 1964, est à la recherche de son identité. La politique proclame un « humanisme zambien » pour résoudre les difficultés économiques. Les responsables des Eglises chrétiennes publient en août 1979 une déclaration pour s’opposer au socialisme scientifique, caché dans « l’humanisme zambien », qui n’aidera pas à sortir du sous-développement et qui ne garantira pas les droits humains. Ralf, lui-même réfugié du communisme soviétique, revient régulièrement sur ce problème dans ses lettres. Ses préoccupations pour la situation politique et sociale ont sûrement son origine dans le fait qu’il est passé par la perte de son pays d’enfance, l’exil et l’intégration dans un autre milieux accompagné par la pauvreté matérielle.

Rolf interrompit son travail pastoral par trois fois, deux fois pour se rendre à Jérusalem, en 1979 pour faire la grande retraite et en 1999 pour le cours biblique, la troisième fois lorsqu’il revient en 1985 pour quatre ans en Europe. Il est nommé à Axams, à 10 km d’Innsbruck an Tirol où il vit dans une communauté, nouvellement implantée comme projet nouveau, avec deux confrères, P. Anton Mettrop, un confrère hollandais et le P. Walter Vogt. L’équipe est chargée de l’animation missionnaire et vocationnelle. Elle mettra en place tous les moyens pour se faire connaître et pas seulement dans les paroisses du diocèse et les mouvements catholiques mais aussi au-delà des frontières diocésaines. Les confrères ouvriront notamment les portes de leur maison en organisant des journées de réflexion pour les jeunes.

En décembre 1989, Rolf retourna dans le diocèse de Kasama, mais il dut interrompre plusieurs fois son séjour pour se soigner en Allemagne. En décembre 2006 il est nommé en province. De 2007 à 2018 il est en charge de l’économat à Haigerloch, dans la communauté des confrères âgés.

Pendant la dernière année de sa vie, il a dû endurer une épreuve de plus lorsque le secteur a vendu la maison de Haigerloch, la deuxième fondation après Trier. La communauté s’est installé dans une maison de la CARITAS à Hechingen, à une dizaine de kilomètre de Haigerloch. En février 2019, Rolf est rentré dans la clinique universitaire à Tübingen où il est mort le 2 mars dans la matinée et enterré le 8 mars dans la section des Missionnaires d’Afrique au cimetière de Haigerloch.

Hans Vöcking, M.Afr.

EPO – Celebration du Jubilé à Jérusalem

Dans le cadre des célébrations jubilaires à Sainte Anne, nous avons organisé, le 7 mars, une matinée de conférences et de présentations sur la Société. Nous avons invité le personnel et les étudiants de Ratisbonne, l’université de théologie salésienne où nos candidats vont pour leur formation théologique.

Nous avons commencé par une conférence de Dave : “150 ans et toujours aussi fort !” – une présentation de certains des éléments de notre histoire qui nous aident à comprendre qui nous sommes aujourd’hui.

Ensuite, Frans Bouwen a parlé de la présence des “Pères Blancs” (comme on nous a toujours appelés) à Jérusalem.

Après une pause, le P. Gaëtan Tiendebéogo a présenté le film “Témoins du plus grand amour” qui parlait des “martyrs de l’Algérie” et qui a été réalisé par la communauté du Chemin Neuf. Enfin, trois étudiants ont partagé un peu de leur expérience de vie personnelle avec les Missionnaires d’Afrique. Nelson Ekeh a parlé de l’interculturalité dans la Société, Thierry Uyirwoth de son expérience communautaire et Belito Joaquim de notre engagement envers JPIC. La matinée s’est terminée par un déjeuner partagé par tous les participants. De l’avis général, la matinée a été à la fois intéressante et agréable.

Dave Sullivan, M.Afr.
Jerusalem

Maurice Cadilhac, R.I.P.

Le Père Patrick Bataille, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Maurice Cadilhac

le lundi 11 mars 2019 à l’hôpital de Pau (France)
à l’âge de 84 ans dont 59 ans de vie missionnaire
en Tunisie, au Mali, en Mauritanie et en France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

Téléchargez ici l’annonce du décès du Père Maurice Cadilhac Continue reading “Maurice Cadilhac, R.I.P.”

Carême 2019 – Chemin de Croix

Le Chemin de Croix de Carême a été préparé par la Coordination JPIC-RD des Missionnaires d’Afrique (Rome, 2019).

Les textes de réflexions sont tirés de l’exhortation apostolique « Gaudete et Exsultate ». Les images du chemin de croix, une réalisation de l’artiste Amblé Sonaglia, viennent de l’Eglise St Polycarpe à Rome. Les stations sont fabriquées avec des clous … qui nous rattachent, nous unissent, nous soudent même davantage à Jésus crucifié.

Pour prier le chemin de croix personnellement, ou pour en évaluer le contenu, veuillez cliquer sur le carré se trouvant à mi-chemin de la barre inférieure de la présentation “Google Slides” ci-dessous, afin de voir la présentation en plein écran. Par défaut, les diapos passent de l’une à l’autre chaque minute, mais vous pouvez forcer le passage ou le retour d’une diapo en manipulant les flèches à gauche de la barre inférieure. Et pour sortir de la présentation plein écran, appuyez sur échappement” (ESC).

 

 

Ci-dessous, vous pouvez télécharger trois documents PDF :

Il vous suffira d’imprimer le premier document en recto verso sur du papier “A4 paysage” pour former un carnet A5 de 16 pages (4 feuilles A4).

Vous pouvez aussi télécharger un autre document PDF comportant les photos des 15 stations du chemin de croix, prêtes à être projetée.

Quant au troisième document, il s’agit des stations, page par page, comme celles de la présentation “Google Slides” ci-dessus.

Méditations de Carême 2019 – Semaine 2

La branche allemande d’AEFJN – Netzwerk Afrika Deutschland – a préparé une série de méditations en préparation au “Mois Extraordinaire sur la Mission” que le Pape François a annoncé pour le mois d’octobre prochain. Voici le texte d’introduction. Chaque lundi du carême, la méditation suivante sera postée.

« Les méditations de Carême vous invitent à une réflexion personnelle et communautaire sur les dimensions multiples de la mission de l’Eglise:

  1. Mission est rencontre personnelle avec Jésus-Christ dans Eucharistie, Parole de Dieu, prière personnelle et communautaire. Seulement si le Christ est présent dans notre vie, nous pouvons le communiquer avec les autres.
  2. Mission est témoignage : Laissons-nous nous inspirer par les saints, les martyrs de la mission et les confesseurs de la foi d’hier et d’aujourd’hui.
  3. Mission demande une formation à vie: Evêques et prêtres, hommes, femmes et jeunes doivent chercher comment communiquer l’évangile dans notre culture en transformation.
  4. Mission est être au service des tous : C’est le témoignage d’amour et de solidarité avec les pauvres qui seul peut démontrer l’amour de Dieu pour tous. »

Semaine 1 : Le Mois Extraordinaire de Mission 2019 – Un survol

Semaine 2 : Le Mois Extraordinaire de Mission 2019 – Documents de l’Eglise

Sœur Thérèse PATAUD (Bernadette du Gave), R.I.P.

Les Sœurs Missionnaires de Notre Dame d’Afrique
vous invitent à partager leur espérance et à prier pour

Sœur Thérèse PATAUD (Bernadette du Gave)

de la communauté de Verrières le Buisson
entrée dans la plénitude de la Vie le 07 mars 2019 à Verrières le Buisson
à l’âge de 87 ans ans, dont 62 ans de vie religieuse missionnaire.

Sa vie missionnaire s’est déroulée en R.D.Congo et France.