Nouvelles archives

Ecole de la différence – 7ème édition

Depuis 2011
l’École de la différence
est une expérience unique et
positive de la diversité culturelle
pour les jeunes en Algérie.

Les garçons et filles entre 20 et 30 ans, désirant participer doivent faire partie d’une association, club, groupe actif, réseau associatif, etc. déjà formé, de préférence dans les domaines suivants: éducation informelle, écologie, intereligieux, patrimoine, handicap, promotion de la culture, coopérative, action humanitaire, etc.

Au cours de la 7ème Ecole de la différence chaque jeune devra présenter, dans un atelier, les activités, réalisations accomplies et projets en cours menées par son association.

Les candidatures et demandes de renseignement doivent entre envoyées avant le 1er février 2018.

Télécharger le dépliant ici : Le dépliant s’ouvrira dans une “fenêtre externe Google”. Pour le télécharger cliquez sur la flèche ↓  en haut à droite.

Communication non-violente : un exemple

Les conflits entre voisins sont très fréquents. Voici un exemple d’un tel conflit et sa résolution non-violente et créative. Il s’agit d’un exemple qui peut être utilisé en groupe pour faire réfléchir les gens. Le lien pour le Power Point original se trouve en bas de page. Vous pouvez utiliser le Power Point librement mais en mentionant l’origine :

Andreas Göpfert, Missionnaires d’Afrique, Via Aurelia 269, Rome 00165 © 2017 

Téléchargez le Power Point original : le Power Point s’ouvrira dans une “fenêtre Google”. Téléchargez le fichier en cliquant sur la flèche ↓ en haut à droite.

Nouvelles de Théo Caerts au Togo

Chers Parents, Chers Amis et chères Amies, Chers Confrères,

Bonjour ! Cette fois-ci, je suis pas mal en retard avec mes vœux de Nouvel An :
la fête de Noël est déjà passée depuis un bon moment, et le début de la Nouvelle Année 2018 date aussi déjà de quelques jours. Que s’est-il passé ?
Nous avons eu plusieurs importantes coupures de la connexion d’Internet ces
derniers temps, et dans la période de Noël-Nouvel An, notre Compagnie Togo
Telecom a eu la « bonne idée » de faire des travaux sur leur réseau, avec comme conséquence des coupures pendant des semaines !! En plus, moi-même, j’étais occupé par la préparation d’une retraite, prévue pour la fin du mois de janvier dans notre maison de formation à Ouagadougou (Burkina Faso). Donc, avec un retard important, mais non moins sincèrement, je vous envoie tous mes meilleurs vœux et ceux de toute notre communauté à chacun et chacune de vous et à vos familles et communautés : vœux de santé, de bonheur, de joie, de réussite dans toutes vos activités, et la bénédiction de Dieu sur vous tous et toutes ! Merci à tous ceux et à toutes celles, qui ont fait bien mieux que moi, et dont les vœux de Noël et de Bonne Année me sont parvenus bien à temps ! Merci pour votre fidélité !

Cette année 2018 sera marquée par mon retour définitif en Belgique. En effet,
j’aurai 75 ans cette année et mon engagement missionnaire compte lui aussi 50 ans : alors, en dialogue avec mes responsables, j’ai estimé que c’était un bon moment pour quitter le Togo et l’Afrique et de me mettre au service du Secteur Belgique. La Belgique n’a pas tardé à me nommer dans la communauté de la Procure d’Anvers. Tout cela ne se fera pas sans un petit pincement de cœur, bien sûr, mais, c’est la vie : il y a un début et une fin à tout !!
Et comment va le Togo ? Et nos projets à Talo ? Eh bien, le Togo ne va pas très
bien : il y a eu beaucoup de manifestations, de grèves et de violences ces derniers temps en vue d’obtenir un changement politique. Heureusement, ici à Atakpamé et à Talo, nous n’avons pas été touchés par ces événements. Quant à nos projets, nous sommes en train de réaliser le plus grand, le plus important et le plus difficile : nous sommes en train de construire un Centre Polyvalent, qui servira aussi d’église paroissiale le dimanche et en d’autres occasions. En pièces attachées, vous trouverez des photos des projets terminés (notre maison et l’école), et du Centre Polyvalent en construction. Vous remarquerez qu’il est bien avancé, mais loin d’être terminé. Si des bonnes volontés peuvent nous aider à terminer le tout, elles seront les très bienvenues ! Récemment, avec l’aide du « Development Office » des Missionnaires d’Afrique à Washington (USA), qui nous avait déjà aidés aussi pour la construction de l’école, nous avons foré un puits de 75m de profondeur, destiné à la population locale, aidant ainsi surtout les femmes dans la recherche pénible et quotidienne de l’eau.

Tout cela a été réalisé depuis notre arrivée ici, au mois de mai 2012 (les travaux
de construction ont vraiment commencé le 1 er juillet 2013), et cela n’a été possible que grâce à l’aide généreuse de beaucoup d’entre vous. Citer des
bienfaiteurs est toujours délicat, mais, je veux quand même remercier spécialement certaines personnes, qui préfèrent rester anonymes, et qui ont donné des sommes importantes pour l’ensemble de nos projets – la Province du Limbourg et le Secteur Allemagne qui ont aidé beaucoup à la construction d’une école primaire de six classes, avec toilettes, bureau du Directeur, salle de réunion, et deux classes maternelles – des chrétiens du Canada et des confrères, qui ont donné une contribution très importante pour la construction de l’église, ainsi que les Sœurs de la Miséricorde de Renais et les Sœurs de Marie de la rue Deberiot à Louvain – et, pour l’ensemble, les confrères Missionnaires d’Afrique, surtout de la Belgique, mais aussi d’un peu partout, qui ont vraiment soutenu, d’une manière merveilleuse, la naissance de cette nouvelle implantation des Missionnaires d’Afrique au Togo. Que tous et toutes en soient ici cordialement remerciés ! Merci infiniment !

Mais, comme nous l’avons toujours dit, nous ne sommes pas venus ici pour construire des bâtiments, aussi nécessaires soient-ils, mais, pour construire une communauté chrétienne. Et de ce travail plus discret et intérieur, il n’y a pas de photos !! Un travail pastoral important vient d’être fait, il y a quelques semaines, par le choix de nouveaux membres du Conseil Pastoral Paroissial, qui sont nos plus proches collaborateurs, et qui portent une importante responsabilité dans le travail paroissial. Chaque mois, pendant un weekend, nous réunissons une vingtaine de jeunes, dont la plupart sont déjà à
l’université, et qui sont intéressés par la vocation missionnaire. Ensemble avec
quelques chrétiens, nous venons de lancer un cours d’Initiation sur la Doctrine Sociale de l’Eglise de trois mois, qui chaque mardi, de 18h à 20h, réunit plus ou moins 25 personnes de toute la ville d’Atakpamé. Deux jeunes Togolais viennent d’être ordonnés prêtres Missionnaires d’Afrique et partiront bientôt pour le Soudan et pour la République Démocratique du Congo. A Talo, dans notre Paroisse, à laquelle nous avons donné le nom de Notre-Dame d’Afrique (NDA), nous avons une communauté chrétienne jeune et dynamique, mais, qui a besoin d’être davantage formée et accompagnée, et qui, à son tour doit devenir missionnaire. C’est notre travail ça, et nous nous efforçons d’y répondre le mieux possible !

Voilà les quelques nouvelles de par ici que je voulais vous partager, ensemble
avec mes vœux et ceux de la communauté Missionnaire d’Afrique. Que Dieu notre Père bénisse cette année pour qu’elle soit vraiment bonne et heureuse pour chacun et chacune d’entre vous, et qu’il nous donne l’occasion de nous rencontrer au cours de cette nouvelle année !

Avec tous mes vœux de paix, de joie et de bonheur pour cette nouvelle année
2018 !

Théo
Talo, le 11 janvier 2018

José Antonio Olano, R.I.P.

Le Père Jesús Zubiría O. , Délégué Provincial du secteur d’Espagne,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

José Antonio Olano

le vendredi 12 janvier 2018 à Pampelune (Espagne)
à l’âge de 85 ans dont 54 ans de vie missionnaire
en R.D. Congo et en Espagne.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

Icône

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Sœur Suzanne Saglio, R.I.P.

Les Sœurs missionnaires de ND d’Afrique
vous invitent à partager leur espérance et à prier pour :

Sœur Suzanne Saglio (Louis de Carthage)

originaire du diocèse de Besançon
et de la communauté de Meaux
entrée dans la vie à Meaux
le 10 janvier 2018
à l’âge de 101 ans,
dont 77 ans de vie religieuse missionnaire
en Suisse, Algérie et France

Chers jeunes, apportez l’amour du Christ aux jeunes de votre âge!

https://fr.zenit.org/articles/chers-jeunes-apportez-lamour-du-christ-aux-jeunes-de-votre-age/

Bulletin ARCRE-PECRE n° 243

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Accueillir, protéger, promouvoir, intégrer

Dimanche prochain, le 14 janvier 2018, c’est la journée mondiale de prière pour les Migrants, qui s’articule autour de ces 4 verbes d’action : accueillir, protéger, promouvoir et intégrer.

https://youtu.be/4O9E0SGzfb4

« Les migrations, dans leurs différentes formes, ne représentent certes pas un phénomène nouveau dans l’histoire de l’humanité. Elles ont profondément marqué chaque époque, favorisant la rencontre des peuples et la naissance de nouvelles civilisations. Malheureusement, dans une grande partie des cas, il s’agit de déplacements forcés, causés par des conflits, des catastrophes naturelles, des persécutions, des changements climatiques, des violences, une pauvreté extrême et des conditions de vie indignes. Notre réponse commune pourrait s’articuler autour de quatre verbes: accueillir, protéger, promouvoir et intégrer.

Accueillir.

Un accueil responsable et digne de nos frères et sœurs commence en leur donnant un premier hébergement dans des espaces adéquats et décents.

Protéger.

Nous parlons de millions de travailleurs migrants, hommes et femmes — et parmi ceux-ci, en particulier ceux qui sont en situation irrégulière — de réfugiés et de demandeurs d’asile, de victimes de la traite. La défense de leurs droits inaliénables, la garantie des libertés fondamentales et le respect de leur dignité sont des devoirs dont personne ne peut se dispenser.

Promouvoir.

Protéger ne suffit pas, il faut promouvoir le développement humain intégral des migrants, des déplacés et des réfugiés. La promotion humaine des migrants et de leurs familles commence par les communautés d’origine, là où doit être garanti, avec le droit de pouvoir émigrer, également le droit de ne pas devoir émigrer.

Intégrer.

L’intégration, qui n’est ni assimilation ni incorporation, est un processus bidirectionnel, qui se fonde essentiellement sur la reconnaissance mutuelle de la richesse culturelle de l’autre.

Je crois que conjuguer ces quatre verbes, à la première personne du singulier et à la première personne du pluriel, représente aujourd’hui un devoir.

Voilà pourquoi il est important que les Pactes mondiaux soient inspirés par la compassion, la prévoyance et le courage! »

Pape François

Voir aussi : https://migrants-refugees.va/

Sr. MT Debroise (Sœur Yves-Emmanuel)

Les Sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique
vous invitent à partager leur espérance et à prier pour

Sœur Marie-Thérèse DEBROISE (Sœur Yves-Emmanuel)

de la communauté de Meaux.
Entrée dans la vie à Meaux
le 08 janvier 2018
à l’âge de 94 ans, dont 69 ans de vie religieuse missionnaire.
Sa vie missionnaire s’est déroulée en Algérie, Tunisie et France

C’est une question de justice… pour plus de paix !

Je reçois fréquemment du “Centre de préoccupation sociale” le calcul mis à jour du panier de besoins essentiels (Basic Needs Basket or BNB) pour les citoyens malawiens. Il est établi en comparant à travers les régions les prix à jour des besoins de base d’une famille de 6 (deux parents et quatre enfants). Le calcul est très bien fait et devrait défier toutes les personnes qui emploient du personnel (en particulier du personnel non qualifié), en leur payant beaucoup moins que des salaires équitables. Ils soulagent souvent leur conscience en respectant les minimums légaux ou tout simplement en faisant comme tout le monde.

Je ne prends pas toujours le temps d’examiner les données, mais aujourd’hui je l’ai fait. Le gouvernement malawite vient de réajuster le salaire minimum à 25 000 Kwacha malawiens per month, soit 25 € !! Mais le calcul du BNB pour novembre 2017 s’élève à 161 557 Kwacha malawiens, soit 187 €, soit plus de 7 fois le salaire minimum.

Et c’est pour des besoins très basiques, sans compter les frais de scolarité, les uniformes et les livres, sans compter le transport (bus pour aller au travail ou à l’école), sans crème glacée ou bonbons et bien sûr, le rêve d’une voiture ne se matérialisera jamais.

Et nous, Missionnaires d’Afrique, combien payons-nous notre personnel?

Philippe Docq, M.Afr.