Soins des confrères âgés à St. Charles Heythuysen (PE n°1090 – 2018/04)

Cet article vous donne des informations sur une équipe de laïcs qui est au service des confrères âgés de St. Charles Heythuysen. L’équipe est composée de trois dames : une coordinatrice, Jose Hendriks, et deux personnes de contact Annie Keijsers et Marian Timmermans.

De gauche à droite : Annie Keijsers, Jose Hendriks, Marian Timmermans

C’est un plaisir pour moi de décrire mes expériences dans ma fonction de coordinatrice de la communauté des Pères Blancs à St. Charles.

Le soin des intérêts immatériels de la communauté et le bien-être spirituel et physique sont au cœur de notre fonction. D’abord notre contact personnel avec les Missionnaires d’Afrique à Heythuysen. Nous sommes en outre responsables des contacts externes, tels que le médecin généraliste, la municipalité, les proches, ou l’institution de prise en charge des soins, Land van Horne, dont nous louons les appartements.

Afin de remplir au mieux les tâches essentielles mentionnées ci-dessus, il était important que nous commencions par connaître les Pères Blancs en tant que tels, leurs besoins et leurs souhaits en matière de vie communautaire par exemple. Nous avons donc pensé qu’il était très important de créer une atmosphère dans laquelle la communauté pourrait s’épanouir et qui répondrait à leurs besoins.

Leur confiance en nous devait grandir ; cela s’est passé de façon naturelle par notre disponibilité pour eux.

La situation

Le secteur hollandais n’a qu’une seule communauté, c’est St. Charles à Heythuysen. Dans cette communauté vivent 36 Pères Blancs à St. Charles (l’âge moyen est de 82,8 ans).

St. Charles est un bloc de 79 appartements avec des soins internes, dont les Pères Blancs en louent 36. Land van Horne est le propriétaire du bâtiment et le fournisseur de soins.

Les confrères vivent chacun dans un appartement. Nous essayons de les laisser vivre de manière autonome aussi longtemps que possible avec l’aide nécessaire.

Les repas sont pris ensemble au restaurant. Dans ce restaurant, une section est réservée aux confrères. Trois fois par jour, ils se retrouvent pour profiter des repas ensemble. Au cours de la matinée et l’après-midi, ils prennent un café ou un thé ensemble ; c’est leur lieu de rencontre.
Chaque jour, il y a une Eucharistie à 9h30 le matin et des vêpres à 17h00. L’adoration a lieu tous les dimanches.

Pour recevoir des confrères vivant en dehors de la communauté ou encore en Afrique, nous louons trois chambres d’hôtes. Celles-ci sont à notre disposition toute l’année et sont fréquemment utilisées ; non seulement par les confrères mais aussi par les proches et les connaissances de la famille Pères Blancs.

La façade de la maison d’Heythuysen comme elle était il y a quelques années

Soin et aide

Nous organisons le transport des malades, les rendez-vous médicaux, les sorties, les contacts avec les proches, la discussion avec les soignants et le personnel domestique, les médecins généralistes, les demandes de soins qualifiés et toutes sortes d’équipements d’assistance. Le coordinateur et les personnes de contact sont informés des rendez-vous des confrères avec les médecins généralistes, les spécialistes, etc. ; s’il en est besoin, l’un d’entre nous les accompagne. Autrement, l’un des confrères ou l’un des volontaires les conduit. Ceci montre que les confrères vieillissent et sont moins mobiles. Nous devons veiller à ce qu’ils ne se surchargent pas, car ils vieillissent tous.

Tous les confrères de St. Charles reçoivent une aide domestique pour nettoyer leur appartement. Pour la plupart d’entre eux, les dépenses sont remboursées par la municipalité. Nous devons demander une inscription et, si elle est accordée, le personnel sera fourni par Land van Horne.

En ce qui concerne les soins personnels, un certain nombre de confrères sont totalement autonomes et n’ont pas besoin d’aide. Pour ceux qui ont besoin d’aide, nous pouvons en faire une demande ; si elle est accordée, le soin sera assuré par le personnel de Land van Horne. Pour cela aussi, nous devons payer une contribution, le reste est payé par l’assurance maladie ou le gouvernement. C’est une de nos tâches de tenir les inscriptions à jour, ou quand plus de soin est nécessaire, nous assurer que les mesures appropriées sont prises.

L’autosuffisance est encouragée par le gouvernement. Les soins de santé aux Pays-Bas sont devenus trop chers et ils le deviennent de plus en plus chaque année ; on s’attend à ce que l’on reste chez soi aussi longtemps que possible. Les gens vieillissent et ont besoin de plus de soins et d’attention, tandis que les subventions gouvernementales diminuent.

Normalement, les confrères s’entraident, mais à cause de leur âge, cela devient de plus en plus difficile et laborieux. Cela nous fait ressentir une grande responsabilité envers la communauté ; précisément en ce moment où l’on a besoin de personnes qui s’occupent du nécessaire et qui prennent les décisions qui s’imposent.

Les jubilaires à Heythuysen le 29 juin 2017

Notre expérience

Maintenant, après avoir travaillé ici pendant 8 ans, je peux dire que nous, Annie, Marian et moi, avons un bon lien avec les Pères Blancs. Nous sommes devenus partie intégrante du paysage et des personnes de confiance. De plus en plus, nous devenons partie intégrante de leur vie quotidienne à St. Charles. Nous nous sentons acceptées et respectées et heureuses de continuer sur la route empruntée.

Ce travail nous donne beaucoup de satisfaction, car nous sommes en mesure d’être proches des gens et servir directement nos semblables ; particulièrement ce groupe spécial d’hommes qui ont toujours été au service des autres. Nous estimons que c’est un privilège d’être autorisées à le faire; nous continuons à apprendre chaque jour, et cela enrichit nos propres vies.

   

Jose Hendriks

Une retraîte active (PE n°1090 – 2018/04)

« Veillons à tout faire pour que leur retraite reste aussi active que possible » (AC.5.3-a)

Ce souhait des Actes Capitulaires demeure l’obsession parfois douloureuse mais toujours récurrente de tout responsable de communauté de confrères âgés. Il y a bien longtemps, c’était dans les années 80, j’étais alors infirmier dans notre maison de retraite à Tassy durant trois années formidables mais pas faciles. Aujourd’hui, je me retrouve depuis trois ans responsable de notre maison de retraite à Bry sur Marne. Au cours de ces deux services aux conditions complètement différentes, j’ai essayé de faire tout ce que je pouvais pour que ce vœu ne reste pas un vœu pieux. Mais il y a des évidences qu’on ne peut taire, et que je voudrais avant tout ici rappeler.

Une maison de retraite n’est pas le noviciat : on ne peut pas considérer nos confrères âgés comme des « jeunes en devenir ». Bien au contraire, chaque confrère a un vécu extraordinaire, d’une richesse incalculable, avec une foule d’expériences personnelles uniques, et aucun moule, Dieu merci, n’a pu leur faire perdre leur personnalité ; il n’est donc surtout pas question de les enfermer dans un système quel qu’il soit dans nos maisons appelées à bon escient « maisons de repos » : chacun d’eux a écrit à sa façon et librement une page de l’histoire de l’Eglise d’Afrique, et chacun d’eux est digne d’admiration, et encore plus de respect de sa liberté.

La maison de repos des confrères à Bry-sur-Marnes

Les disciples de Jésus sont revenus de leur mission enthousiastes mais fatigués. Et Jésus n’a pu que proférer une invitation qui venait du plus profond de sa compassion, et bien plus encore de son immense respect pour chacun d’eux : « Venez vous reposer ! » N’est-ce pas là la meilleure invitation que nous puissions offrir à nos confrères de retour définitif d’Afrique, et qui vont souvent encore ajouter à leur épuisement d’autres années actives au service de leur Province d’origine, avant d’être invités enfin à prendre un peu de repos ? Car ils sont fatigués mais ils ne le savent pas encore ou bien le cachent de peur d’être nommés dans un « mouroir ». Mais une fois franchi à reculons le seuil de notre maison, beaucoup oublient très vite toutes les exigences pastorales qu’ils avaient formulées avant leur entrée car, libérés soudainement de tout souci, la fatigue qu’ils cachaient en eux subitement les écrase. Ils apprécient alors d’avoir moins de soucis matériels, une belle chambre nettoyée tous les jours par le personnel, des repas adaptés, une vie spirituelle bien organisée, au sein d’une communauté nombreuse ô combien réconfortante. Oui, ils peuvent enfin « se reposer », car ils l’ont largement mérité.

Messe dans la communauté de Bry-sur-Marnes

Alors, « une retraite aussi active que possible » ? C’est avant tout respecter leur liberté. Il y a ceux qui aiment lire ou écrire, il y a les accros au Web, il y a ceux qui, s’ils le peuvent encore, sortent de temps en temps en paroisse, il y en a qui passent du temps devant la télévision, d’autres à la chapelle, il y a ceux qui aiment bricoler, il y a ceux qui jouent, il y a ceux qui se promènent, il y a ceux qui visitent les confrères malades ou dépendants, il y a ceux qui vont visiter des expositions, il y a ceux qui tout simplement rêvent…  Mais tous ont un point commun : ils s’écoutent vieillir, ils épient inconsciemment les premiers symptômes de la maladie, des infirmités, de la dépendance… ou leur aggravation, et tout cela conditionne leur emploi du temps. Les en distraire ? Au nom de quoi les empêcher de vivre leur « aujourd’hui » dans la foi et l’abandon? Et puis, dans le mot « vieillir », n’y a-t-il pas le mot « vie » ? Et si vivre à leur âge était tout simplement vivre le présent du mieux possible, chacun à sa façon, tout en appréciant la vie de communauté toujours essentielle à leurs yeux ? Et le rôle du responsable est alors d’accompagner leur liberté pour créer un climat général propice au vécu adapté à l’aujourd’hui de leur vocation missionnaire éternelle. Tout alors doit être bon pour vivifier une vie de communauté d’une grande richesse dans son incroyable diversité. Il y a bien sûr le cadre inamovible d’une maison de retraite avec ses horaires adaptés, et bien plus encore ici à Bry dans notre EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) avec en plus ses quinze laïcs, mais il doit y avoir surtout le souci d’ouvrir chacun au monde d’aujourd’hui et d’y être activement présent par le souvenir (mais oui…), par la rencontre, par l’ouverture, par les échanges, et plus encore par la prière. On peut organiser toutes les « sessions » (AC.5.3-b) du monde, faire tous les « jumelages » (AC.5.3-g) fructueux imaginables, si leur personnalité n’est pas respectée, c’est tout leur « aujourd’hui » qui devient triste.

« Un grand merci à nos aînés pour l’assiduité de leur prière pour la Mission en Afrique. » (AC.5.3-c)

Un confrère très âgé me confiait à la lecture de ce passage cette réflexion : « S’ils s’imaginent que, parce que, en fin de vie, il nous est plus facile de prier que lorsque nous étions jeunes… »

Oui nos confrères âgés essaient de prier de leur mieux pour la Mission en Afrique ; n’oublions jamais qu’eux aussi, en cette période cruciale de leur vie terrestre, ont besoin de notre prière !

 

 

 

 

Clément Forestier

Nos confrères âgés (PE n°1090 – 2018/04)

Certains auteurs affirment que l’espérance de vie a augmenté ces dernières années et que nos vies sont plus sûres, plus heureuses, plus paisibles, plus stimulantes et plus prospères que dans le temps, non seulement en Occident mais dans le monde entier. Comme Société, nous pouvons être fiers de notre souci et du soutien continu porté à nos confrères âgés afin qu’ils puissent vivre heureux et épanouis, sachant que partout où nous sommes nous demeurons des missionnaires répondant à notre premier appel, et que nous sommes entourés d’amour et de soins.

Durant notre vie adulte, nous avons été engagés dans un grand nombre d’activités, nous étions presque invincibles avec de l’énergie à revendre. C’est pourquoi nous résistons à la pensée de vieillir et à l’idée que nous ne sommes pas éternels. Vieillissants, nous devenons plus conscients de nos limites en raison de notre âge, de notre santé, de nos forces, de la perte des gens que nous aimons et du statut que nous avions dans une communauté spécifique où nous avons œuvré. Quand nous étions plus jeunes, c’était comme si nous dansions dans la vie, malgré les obstacles et les nombreux défis auxquels nous étions confrontés dans notre apostolat missionnaire. Il est bon de se rappeler les paroles de Carl Jung : « l’après-midi de la vie humaine doit avoir une signification propre et ne peut être simplement un appendice pitoyable du matin de la vie ». Espérons que notre âge avancé signifie plus de profondeur et de maturité que durant notre jeunesse.

Ceci dit, c’est notre attitude face à nos limites qui déterminera la qualité de nos années comme aînés. Certains diront que nous devons pleurer nos pertes par un deuil qui est aussi une libération, qui nous amène à découvrir la capacité et la joie d’embrasser la vie comme nous l’avons toujours fait. Embrasser la vie afin qu’elle continue d’être une expérience intense et variée. Notre âge ne signifie pas que nous sommes mis à part et impuissants, ou que nous ne pouvons pas avoir d’influence dans la vie de notre Société, ou encore que nous sommes incapables de témoigner de la force de l’évangile. Nous ne devons pas être spectateurs de notre vie, mais nous y engager, car le temps est toujours présent.

De plus, le processus de vieillissement nous offre de nouvelles occasions de croissance. Les personnes âgées, autrefois dynamiques et indépendantes, apprennent maintenant une nouvelle dépendance vis-à-vis des autres. Les jeunes pleins d’énergie doivent trouver de nouvelles façons de servir la génération plus âgée. Ceux qui ont besoin de soins et ceux qui l’offrent peuvent grandir en tempérament. En tant que confrères âgés, nous avons quelque chose à offrir à nos communautés, à notre Société, à nos amis et à notre famille. Faisant écho au grand écrivain spirituel américain Thomas Merton, je crois que le seul véritable voyage dans la vie est le voyage intérieur – pas du tout centré sur l’ego, mais le voyage de la découverte de soi, du faux soi au vrai soi – c’est le voyage d’une prise de conscience que de tels changements dans notre vie ne sont pas tant des pertes que la récupération de ce qui est de plus profond, de plus original, de plus personnel en nous-mêmes. Espérons qu’en vieillissant, nous ayons plus de sagesse, de liberté, de souplesse, de franchise, d’honnêteté, tout en découvrant que la belle expérience de naître de nouveau n’est pas de devenir quelqu’un d’autre, mais de devenir pleinement nous-mêmes.

Je termine cet éditorial par une citation de Beyers Naude, le grand théologien sud-africain : « Chaque jour que je vis devient plus significatif, plus épanouissant et, pour moi, beaucoup plus enrichissant. J’ai découvert que la vie est trop courte pour toutes les révélations extraordinaires de l’amour reçu de Dieu, des nouvelles idées, nouvelles visions, nouvelles possibilités, nouvelles dimensions de la vie humaine, nouvelles relations avec les gens autour de moi, une plus grande profondeur avec des joies et des souffrances qui façonnent ma vie – oui, je peux vraiment le dire – cela est si profondément significatif que je suis impatient quand je me couche le soir de me réveiller le lendemain matin et dire : C’est un nouveau jour, une nouvelle vie, une nouvelle expérience de Dieu et de l’humanité. »

 

 

 

 

Francis Barnes,
1er Assistant général

Mot du rédacteur (PE n° 1090 – 2018/04)

Les confrères du Conseil général qui visitent les communautés de nos confrères âgés sont souvent impressionnés par leur intérêt pour la mission et notre Société missionnaire. Cela traduit le dynamisme missionnaire qui continue à soutenir leur vie dans leurs maisons de repos.

L’une des préoccupations du dernier Chapitre était, justement, « d’encourager le dynamisme missionnaire de nos confrères malades ou âgés tout en leur procurant l’aide médicale, psychologique, spirituelle dont ils ont besoin » (AC 5.3.) ; certains responsables des communautés de nos aînés ont accepté de partager brièvement l’esprit qui se vit dans leurs maisons de repos.

Le vieillissement et la perte d’une certaine motricité, ne sont pas une raison de déserter son idéal ni de démissionner. Il est alors sage d’adopter « la politique de ses moyens » et de réaliser ce que l’on peut, avec ce que l’on a. On reste missionnaire à part entière, même si parfois les activités peuvent se limiter à prier pour ceux qui sont plongés dans la pastorale directe, ceux qui s’y préparent et ceux qui servent l’ensemble. Nous avons besoin de nos aînés pour nous rappeler qui nous sommes.

Freddy Kyombo

Réal Doucet, nouveau provincial des AMS

Après consultation des confrères nommés à ou originaires de la Province des Amériques (AMS), après vote délibératif du Conseil général, et après avoir obtenu son accord, le Supérieur général, le P. Stanley Lubungo, a nommé le P. Réal Doucet comme Supérieur provincial des Amériques pour un premier mandat allant du 01 juillet 2018 au 30 juin 2021.

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John Michael (Ben) Henze, R.I.P.

Le Père Terry Madden, Délégué Provincial du secteur de Grande-Bretagne,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

John Michael (Ben) Henze

le lundi 7 mai 2018 à l’hôpital de Ealing (Londres – UK)
à l’âge de 84 ans dont 57 ans de vie missionnaire
en Zambie and au Royaume-Uni.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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150 personnes pour le 150° aux Pays-Bas

Les SMNDA (Soeurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique) aux Pays-Bas ont ré-ouvert leur exposition « The White Caravan » dans le Centre du Patrimoine Religieux à Sint Agatha (près de Nijmegen), exposition qui célèbre les 150 ans de la fondation de la « Famille Lavigerie » (les Missionnaires d’Afrique et les Sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique).

La cérémonie religieuse a eu lieu le 29 avril 2018 en présence de Sœur MacDonald, supérieure des SMNDA aux Royaume Uni et du Père Jozef de Bekker, supérieur Provincial délégué des Missionnaires d’Afrique aux Pays-Bas.

La célébration était animée par la Chorale Paroissiale de Saint-Charles Lwanga de La Haye et les 150 personnes présentes à la célébration ont fini par se laisser entraîner à la dance festive.

L’exposition est accessible jusqu’au 21 octobre 2018 et, entre-temps cinq conférences seront Continue reading “150 personnes pour le 150° aux Pays-Bas”

Fernand Mertens, R.I.P.

Le Père Emmanuel Ngona, Provincial d’Afrique Centrale
et le Père Luc Putzeys, Délégué Provincial du secteur de Belgique,
vous font part du retour au Seigneur du Père

Fernand Mertens

le samedi 5 mai 2018 à l’hôpital St. François de Kampala (Ouganda)
à l’âge de 76  ans dont 50 ans de vie missionnaire
essentiellement en R.D. Congo.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Gérard Reynaert, R.I.P.

Le Père Aloysius Ssekamatte, Provincial de la Province d’Afrique de l’Est
et le Père Luc Putzeys, Délégué Provincial de Belgique
vous font part du retour au Seigneur du Père

Gérard Reynaert

le jeudi 3 avril 2018 à l’hôpital St François – Nsambiya (Kampala) – Ouganda
à l’âge de 92 ans dont 66 ans de vie missionnaire
en Ouganda.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

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Conseil Financier

Trois fois par an, le Conseil financier de notre Société se réunit à Rome. Ils sont à Rome pour le moment. Ils ont commencé la réunion par une présentation de Michel Girard et Denis Rabier qui sont responsables de la gestion des dossiers de quelque 700 confrères enregistrés auprès de l’EMI. Les membres ordinaires du Conseil financier sont l’économe général, les économes provinciaux des 8 provinces et les économes des deux sections (EPO et SOA).

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